Résumé :
Quand Greta a appris que son demi-frère venait vivre avec eux, elle était à la fois curieuse et heureuse de faire la connaissance du fils de son beau-père. Malheureusement, elle a vite déchanté. Elec est tout simplement odieux avec elle. Pourtant, elle se sent attirée par ce garçon tatoué qui semble tout faire pour cacher ses blessures. Lentement, leur relation évolue, il s'ouvre petit à petit jusqu'à une nuit inoubliable. Le lendemain, Elec est parti, il disparaît de sa vie aussi vite qu'il y était apparu. Sept ans plus tard, un drame familial les réunit à nouveau. Greta comprend alors que l'adolescent qui s'amusait à la faire tourner en bourrique est devenu un homme très séduisant qui va lui faire tourner la tête. Sauront-ils à nouveau se faire confiance ? Mon avis : Alors. Cette chronique est assez compliquée à écrire car j’ai détesté les 20 premières pages de l’histoire. Apprécié grandement la suite, été déçu de quelques pages au milieu et contente de la fin. PFIOU ! Vous comprenez donc que ce roman me laisse très dubitative. J’adore les romances entre demi-frère et sœur n’ayant aucun lien de parenté. L’amour interdit me plait beaucoup. Pourtant j’ai eu énormément de mal à m’attacher aux personnages. Elec est un con. Il évolue pas mal mais son côté con me dérange vraiment au début de l’histoire. Je pense que c’est cela qui à fait que je n’ai pas réussi à m’attacher à lui. En parallèle Greta est plus touchante mais elle manque de « gueule ». Je trouve qu’elle se laisse vraiment trop faire par Elec, quelques vengeances supplémentaires auraient été bienvenue afin d’ajouter du piquant à l’histoire. En réalité même si je me suis laissé porter par le roman je n’ai pas réellement rit ou pleurer avec les personnages. Même si l’écriture est fluide elle manque de piquant, de moments mémorables et de ce petit quelque chose qui fait d’une histoire banale un super roman. Je dois avouer que même les révélations finales, qui auraient pu relever l’histoire manquaient de ce petit quelque chose. Honnêtement je suis contente de l’avoir lu car cette publication est facile à lire mais je dois vous avouer que, ne pas le découvrir, n’est pas (du tout) impardonnable. Vous ne louperez rien de particulier en n’ajoutant pas ce roman à votre Pile à Lire. Il est assez rare que je sois déçu des publications d’Hugo car je me laisse souvent emportée par leurs histoires. Cette maison d’édition fait, depuis quelques mois, très souvent partie de mes PAL du mois.
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Octobre 2017
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