Résumé :
Leur futur est dans la redécouverte de leurs souvenirs. Depuis ce matin, Silas et Charlie ne savent plus qui ils sont ni quel est leur passé. Pourtant, ils devraient avoir beaucoup de souvenirs communs. Ils se connaissent depuis longtemps et ont toujours été ensemble. Il leur faut maintenant reconstituer leur passé et se redécouvrir mutuellement. Et surtout, ne plus jamais, jamais oublier. Mon avis : Quel meilleur roman que celui qui nous tiens en haleine, qui nous pousse à nous languir de la suite, qui nous accroche à ses personnages comme des drogués à leur dope ? Je dois dire que c’est ce que m'ont fait ressentir les romans de Coleen Hoover et que Never Never n’en fait pas exception tout en me permettant de découvrir un nouvel auteur : Tarryn Fisher. IMPATIENCE, ce que je ressens dès que j’apprends qu’une oeuvre de Colleen Hoover va être traduite en français. Je n’ai, maintenant, même plus peur d’être déçu et me langui seulement d’avoir l’oeuvre entre les mains. RENOUVELLEMENT, c’est ce qu’a réussi à faire ces auteurs en nous proposant non pas seulement une romance quelconque mais en y rajoutant un petit quelque chose d’extraordinaire, d'inexplicable qui donne une profondeur à l’histoire et nous pousse à vouloir en savoir plus. PROFONDEUR, c’est ce que les personnages m’ont fait ressentir. Je pense que Silas et Charlie nous promettent de nombreuses surprises. On découvre des jeunes gens nouveaux à la recherche d’un passé qu’ils ne vont pas toujours comprendre ni approuver. Que faire quand on apprend avoir commis des actes que nous pensions totalement répréhensibles ? SURPRISE, voilà le plus grand et le plus fort sentiment que m’a imposé ce court premier tome. La dernière page nous plonge dans une surprise totale et les événements accélèrent tellement vite qu’une page seulement termine ce premier tome en nous laissant pantelant et assoiffé d’une suite, qui, je n’en doute pas, sauras répondre à mes attentes. LIVRADDICT ! Voilà comment ce roman a encore fait ressortir en moi mon plus grand défaut : oublier le monde alentour pour aller me plonger dans le second volume. J’enregistre ainsi ma chronique, ferme mon PC et déclare “Monde, tu peux m’oublier tant que le tome deux ne sera pas terminé !”
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Octobre 2017
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